Réalisée par Celtipharm pour l’Afipa en janvier 2013, cette étude quantitative présente les grandes tendances et évolutions du marché de l’automédication pour l’année 2012.
Différents indicateurs et critères sont plus particulièrement analysés et détaillés : la croissance du marché (en valeur et en volume), le top 10 des marques et laboratoires d’automédication en 2012, les segments thérapeutiques phares ou encore l’évolution des prix pour les médicaments d’automédication.
Ce 11ème Baromètre traduit ainsi pour la quatrième année consécutive le dynamisme du marché de l’automédication avec une progression de 3.2% des ventes en valeur représentant 7.6% du chiffres d’affaires TTC médicament (contre 7.2% en 2011).
En outre et même si tous les segments thérapeutiques affichent une croissance positive, trois d’entre eux apparaissent être davantage contributifs et performants : le marché de l’antalgie, le marché des voies respiratoires et celui de la circulation.
Concernant les prix, enfin, deux conclusions majeures sont mises en avant par cette étude : les écarts de prix entre officines pour les médicaments d’automédication (PMF non remboursable) se réduisent et le niveau de prix de ces mêmes produits ne cesse de diminuer depuis 4 ans.
Réalisée en Octobre 2012 par Celtipharm sur la base des déclarations de groupes de médecins généralistes, cette étude qualitative s’intéresse à la perception de cette catégorie de professionnels de santé vis-à-vis de l’automédication.
Trois parties articulent ce rapport :
Réalisée par Celtipharm et présentée à l’occasion du second Forum de l’automédication organisé par l’Afipa en octobre 2012, cette étude quantitative analyse le potentiel économique de l’automédication et son rôle possible comme régulateur de l’offre de soins.
A cet effet, deux hypothèses sont considérées :
Réalisée par l’Université Pierre et Marie Curie en avril 2012 via un sondage sur internet (400 questionnaires exploitables), cette étude définit les facteurs influençant le choix de médicaments d’automédication et cherche également à identifier l’existence de profils d’acheteurs pour ce type de produits.
A cette fin, l’enquête s’intéresse d’abord aux habitudes du patient/consommateur (fréquence d’achats de produits accessibles sans ordonnance, pratique ou non de l’automédication et conditions au recours à l’automédication, types de risque perçus, connaissances des produits d’automédication ou encore déroulement de l’acte d’achat d’un médicament d’automédication).
Au vu des résultats, l’automédication se pratiquerait ainsi lorsque le patient estime pouvoir guérir sans l’aide du médecin, dans le cadre du traitement de pathologies bénignes et dans un objectif de prévention. Le choix du patient serait le plus souvent définit avant d’entrer dans l’officine mais le pharmacien pourrait fortement influencer le choix final du consommateur.
Dans un deuxième temps et concernant le processus de décision du patient/consommateur dans l’acte d’achat d’un médicament d’automédication, l’efficacité du produit apparaît comme le facteur le plus influençant dans la décision.
Les autres critères cités par ordre d’importance sont les suivants :
Enfin, l’étude identifie des parcours de consommation, qui différent en fonction du besoin et du moment, plutôt qu’une typologie d’individus par rapport à leurs comportements d’achat (qui n’existerait pas réellement). Quatre parcours de consommation sont ainsi détaillés et expliqués : le dépannage, le shopping, l’habitude et l’apprentissage
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